Les rencontres

Un séminaire embarqué, à huis clos, entre Saint-Nazaire et Amsterdam 

Pendant trois jours, The Arch va permettre de fédérer dans un même lieu des écosystèmes complémentaires autour de la transition écologique .

Les porteurs de solutions européennes, les 10 associations, les jeunes, les entreprises, les experts et des institutionnels vont travailler ensemble pour permettre la bascule écologique et humaine de leurs entreprises , leurs organisations ou leurs  territoires.

L’objectif de The Arch : amener l’ensemble de ces participants à signer des engagements concrets et mesurables sur les enjeux du climat, de la biodiversité, de la préservation des ressources.

Pendant le séminaire nous voulons accélérer le renouveau avec :

Le fil individuel

pour prendre soin de soi et comprendre ce que la transition écologique demande à chacun de nous. Seront ainsi au programme : activités individuelles, Fresques (climat, biodiversité, atelier 2 tonnes), sport, yoga, méditation.

Le fil séminaire

pour relever en 3 jours le défi de transformer son organisation. En groupes de 10 à 15 personnes, en intra ou en inter-entreprises, chaque organisation sera accompagnée par des experts, des coachs, des facilitateurs, tout au long de la traversée. Il en ressortira une feuille de route par organisation avec des actions concrètes et impactantes, pour les mois et les années à venir.

Le fil forum

pour nourrir la transformation de son organisation grâce à des conférences, tables rondes, rencontres… avec des femmes et des hommes à la pointe des enjeux écologiques
et de la transformation des entreprises.

Le fil sensible

pour s’émouvoir et créer du lien, pour embarquer dans cette transition avec des artistes, des personnalités, des philosophes, pour célébrer l’envie de transformer la société et de partager des moments intenses de réflexion et de convivialité. 

 

Pourquoi embarquer à bord du paquebot MSC Euribia ?


Très attachée au territoire de Nantes – Saint-Nazaire, à son bassin industriel, à son histoire économique et sociale, l’association The Arch a décidé de programmer son événement avec la sortie d’Euribia des cales des Chantiers de l’Atlantique. 

Pour quelle raison ? Tout simplement parce que le paquebot aurait dans tous les cas réalisé ce trajet à vide pour rejoindre Copenhague.

Si Euribia a bien sûr une empreinte carbone, il s’inscrit dans le cap vers des croisières où de réels efforts sont réalisés pour tendre vers un meilleur respect de l’environnement.
Il est ainsi propulsé avec du gaz naturel liquéfié (GNL). Cela élimine pratiquement toutes les émissions atmosphériques polluantes comme les oxydes de soufre (à 99%), les oxydes d’azote (85%) et les particules fines (98%). Le GNL permet aussi de baisser de manière significative les émissions de gaz à effet de serre de CO2 par rapport aux carburants traditionnels.

Il faut aussi rappeler que des paquebots comme Euribia ont une gestion très stricte des déchets. Rien de polluant n’est rejeté à la mer, et les eaux noires ou sales sont toutes traitées.

Les hélices de propulsion ont été construites pour émettre un bruit rayonné le plus faible possible, afin de respecter la vie des cétacés au large. Il en va aussi des peintures sous-marines, etc.Toujours dans le but de limiter au maximum l’impact carbone du séminaire, l’association
The Arch a imposé au navire une vitesse limitée à dix nœuds, contre quinze à vingt lors des croisières traditionnelles.

Les membres de l’association The Arch soutiennent par ailleurs, les initiatives de décarbonation du transport maritime. Et notamment la naissance des cargos à voiles, comme Canopée, qui transportera les pièces des fusées Ariane vers la Guyane, ou encore les futurs bateaux de Neoline. Le cap est tracé et la décarbonation maritime est en marche.